
Simplement informer, sérieusement informer.
Karim Meïssa Wade, le candidat désigné par le Parti Démocratique Sénégalais pour l’élection présidentielle prévue en février 2024, a récemment franchi une étape majeure en vue de sa participation à cette joute electorale, en attendant de fouler à nouveau le sol sénégalais. Ce matin, sa […]
PolitiqueBarthélémy Dias, maire de Dakar, s’est entretenu hier avec les partisans de Taxawu Sénégal/France à Paris. Lors de cette rencontre, devant un public nombreux, il a échangé sur divers sujets, notamment en faisant référence à Sonko et à l’ancien parti Pastef sans les nommer en […]
PolitiqueLes Khalifistes de France accueilleront Barthelemy Dias à Paris le 26 novembre 2023 pour soutenir Khalifa Ababacar Sall, candidat à la présidence du Sénégal. La Rédaction L’événement vise à mobiliser la communauté sénégalaise de France pour un changement politique face aux défis de l’injustice et […]
Actualité PolitiqueKarim Meïssa Wade, le candidat désigné par le Parti Démocratique Sénégalais pour l’élection présidentielle prévue en février 2024, a récemment franchi une étape majeure en vue de sa participation à cette joute electorale, en attendant de fouler à nouveau le sol sénégalais. Ce matin, sa […]
Karim Meïssa Wade, le candidat désigné par le Parti Démocratique Sénégalais pour l’élection présidentielle prévue en février 2024, a récemment franchi une étape majeure en vue de sa participation à cette joute electorale, en attendant de fouler à nouveau le sol sénégalais. Ce matin, sa […]
PolitiqueKarim Meïssa Wade, le candidat désigné par le Parti Démocratique Sénégalais pour l’élection présidentielle prévue en février 2024, a récemment franchi une étape majeure en vue de sa participation à cette joute electorale, en attendant de fouler à nouveau le sol sénégalais. Ce matin, sa […]
PolitiqueEmmanuel Macron s’est mis dans la boucle tout seul en déclarant : « si l’on a quelque chose à me reprocher, qu’on aille au pénal». Et, voici que le Sénat a saisi la justice…
PolitiqueL’affaire McKinsey continue de défrayer la chronique en pleine campagne électorale. Emmanuel Macron s’est mis dans la boucle tout seul en déclarant : « si l’on a quelque chose à me reprocher, qu’on aille au pénal». Et, voici que le Sénat a saisi la justice…
Roxanna Seshat
Il faut rappeler qu’Emmanuel Macron invité de France 3 il y a plus d’une semaine, face aux questions sur les polémiques sur McKinsey, et sur l’utilisation de ces cabinets privés pour les politiques publiques, avait répondu que, « si l’on a quelque chose à me reprocher, qu’on aille au pénal ». Macron faisait surement allusions aux conditions d’attribution dans le cadre des marchés publics pour ces cabinets.
« Si l’on a quelque chose à me reprocher, qu’on aille au pénal ».
« Oui, mais vous savez quoi ? Je vais me battre. Et, je ne me cache derrière aucun parti politique. C’est faux de penser ainsi… »
PolitiqueC’était il y a quelques semaines (le 28 septembre) à Paris, Serigne Mansour Djamil et Khalifa faisaient une déclaration commune à Paris ; un prétexte pour Last Leaks de réaliser un entretien avec le mentor de Barthélémy Dias. Sauf qu’au lieu d’une interview, l’on a eu droit à une brève discussion aux relents de révélations… confidences. «Damay bokk 2024, keneu meunouma téŕé bokk»
Rokia Pédro
Invitée à couvrir cette rencontre était plus une occasion pour la journaliste que je suis, de surtout interviewer Khalifa Sall. Depuis sa sortie de prison, je ne l’avais rencontré qu’une fois ; c’était lors d’un meeting à Paris, organisé par ses militants dans une salle dans Le 18ème. Il était impossible de lui parler, les gens étaient venus nombreux lui témoigner leur joie de le voir recouvrer la liberté. Bref…
Enfin, me disais-je, c’était l’occasion de lui poser au moins deux questions qui me tiennent vraiment à cœur.
Dans le hall de cet l’hôtel du 17em où se tenait la déclaration, les conditions n’étaient pas réunies pour la discussion que je souhaitais. Khalifa était venu avec Bamba Fall et il semblait pressé de rentrer dans son hôtel ; il était tard puisque près de 21 heures passées et il ne s’attendait surement pas à se livrer à une séance de questions réponses, ne serait-ce qu’un instant.
L’ancien maire de la capitale Dakar avait déjà pris rendez-vous avec une certaine presse. Il m’expliqua qu’il a promis l’exclusivité à une télé ; ce qui l’empêchait de m’accorder l’interview que je voulais pour Last Leaks dans le cadre de l’émission Capsule.
Karim Meïssa Wade, le candidat désigné par le Parti Démocratique Sénégalais pour l’élection présidentielle prévue en février 2024, a récemment franchi une étape majeure en vue de sa participation à cette joute electorale, en attendant de fouler à nouveau le sol sénégalais. Ce matin, sa […]
PolitiqueKarim Meïssa Wade, le candidat désigné par le Parti Démocratique Sénégalais pour l’élection présidentielle prévue en février 2024, a récemment franchi une étape majeure en vue de sa participation à cette joute electorale, en attendant de fouler à nouveau le sol sénégalais. Ce matin, sa caution a été officiellement déposée à la caisse des dépôts et consignations.
Roxanna Seshat
Un pas de plus ou acte concret pour rassurer ceux qui doutent encore de sa participation future à la présidentielle prochaine. L’information nous a été confirmée par Ibrahima Diop, député ENOC de la diaspora.
Les libéraux ont deposé la caution de leur candidat au CDC. C’était une délégation conduite par Racine Sy ancien directeur de cabinet de Karim Wade et Mamadou Lamine Thiam actuel président du groupe parlementaire.
Tout le groupe parlementaire des libéraux ainsi que des responsables du PDS et l’UJTL ont pris part à cet acte majeur que vient de poser leur candidat.
Dans la foulée des militants ont improvisé une sorte de meeting à la permanencedu PDS.
Barthélémy Dias, maire de Dakar, s’est entretenu hier avec les partisans de Taxawu Sénégal/France à Paris. Lors de cette rencontre, devant un public nombreux, il a échangé sur divers sujets, notamment en faisant référence à Sonko et à l’ancien parti Pastef sans les nommer en […]
PolitiqueBarthélémy Dias, maire de Dakar, s’est entretenu hier avec les partisans de Taxawu Sénégal/France à Paris. Lors de cette rencontre, devant un public nombreux, il a échangé sur divers sujets, notamment en faisant référence à Sonko et à l’ancien parti Pastef sans les nommer en mode « garouwalé » dans une atmosphère animée.
Rokia Pédro
Ce rassemblement dans le cadre du concept « Mottali Yeene » s’est déroulé à l’hôtel Campanile de Bagnolet, accueillant des militants venus de toute l’Île-de-France, de provinces lointaines, et même de Marseille. Parmi les présents figuraient le maire de Mermoz Sacré-Coeur, Aliou Tall, ainsi que des figures telles que Mme Aminata Diallo, ancienne députée et ancienne chef de cabinet de Khalifa Sall, Yaye Amy Diop, et bien sûr, Malick Youm, secrétaire général de Taxawu en France. En somme, une réunion rassemblant la plupart des partisans de Khalifa Sall. »
Ce fut la rencontre majeure de Barthélémy Dias en France avec ses camarades, depuis le divorce de Taxawu Sénégal d’avec la coalition Yewwi Askan Wi. Cela explique sans doute les références fréquentes faites par l’édile de Dakar à Sonko et au parti désormais dissout, Pastef.
Garouwalé de Barth à Paris
Durant la réunion, Barthélémy Dias a utilisé à plusieurs reprises une métaphore, évoquant sans les nommer Sonko et l’ancien parti Pastef en mode « garouwalé ». Il a choisi cette approche peut-être par respect ou par prudence pour ne pas envenimer une situation déjà tendue.
Le fait est qu’il est revenu sur les raisons qui lont poussé à dialoguer avec le président Sall : « je me suis dit que quelque soit Alpha, nous sommes dejà éliminés. L’autre sur lequel sont portés beaucoup d’espoir quelque soit alpha il ser éliminé. Il ne s’agit pas une histoire de justice, cest une histoire de raison d’Etat. Et, il n’a que le peuple qui pouvait régler ce problème. Mais le vrai problème du peuple c’était le troisième mandat. Cest pourquoi je me suis dit: je ne suis pas candidat mais je sais que comme nous sommes éliminés, les autres le seront aussi. Et, celui-là (NDLR Macky Sall) sait tres bien qu’il n’osera briguer un troisième mandat. Si on ne cherche pas à s’asseoir avec lui, quelque soit celui qu’il va désigner pour le remplacer, ce choix passera« .
Pareil, autre part dans son discours, il dira:« j’ai décidé par convenance personnelle de ne plus parler de certaines personnes que je considère comme des amis... » avant de révéler, un fait pour moins singulier; Khalifa Ababacar Sall a un permis de visite pour aller voir » ami » ou plutot « son fils » (NDLR Ousmane Sonko) en prison.
Ce qui a fait espérer un instant, qu’il etait encore possible de sauver les meubles avec cet ex-allié. Que l’on ne s’y meprenne pas, puisque que plus tard il dira toujours en métaphore en expliquant la situation actuelle: « c’est comme ce gars qui est dans un quartier et qui a une insomnie. Il ne peut donc pas dormir. Et décide alors que personne d’autre dans les environs ne dormira parce qu’il n’y arrive pas. Et ça on ne l’acceptera pas« . Les carottes seraient-elles déjà cuites?
En ce qui concerne de futures alliances, Barthélémy Dias ainsi que son mentor Khalifa Sall ont-ils vraiment tiré les leçons des échecs précédents dans d’abord la coalition Benno Bok Yakaar et Yewwi Askan Wi par la suite ? Ont-ils aujourd’hui bien réfléchi aux conditions de séparation d’avec leurs ex alliés et désormais presque adversaires, afin d’élaborer à l’avenir une methodolohie tirée leurs expériences pour construire quelque chose de solide pour bien aborder la présidentielle à venir? Puisqu’il est évident qu’il va falloir renouer d’autres alliances en vue d’un probable second tour de l’élection de février 2024.
Taxawu Sénégal n’exclut pas selon Barthélémy Dias, de discuter avec les partis de l’opposition le moment venu. Mais clairement, au sujet d’une probable possibilité de raffermir les liens avec l’ex Pastef, dira net et sans ambiguïté : « On ne fait la cours à personne« .
Par ailleurs, il a voulu faire parler les chiffres, sappuyer sur des statistiques pour démontrer qu’en réalité, » ça parle beaucoup mais dans les faits jeunes primo-votants ne sont pas si nombreux qu’on veuille le laisser croire. Il a parlé de 9% de jeunes âgés de 18 à 25 ans inscrits sur le fichier électoral ».
Barthélémy Dias et Khalifa Sall chercheraient-ils tout simplement à aller ver la prochaine présidentielle avec une approche plus réfléchie. Ils évoquent une possible ouverture à la discussion avec d’autres partis de l’opposition, mais semblent catégoriques sur certaines lignes rouges, comme réaffirmé par Barthélémy Dias concernant leur position vis-à-vis de l’ancien parti Pastef. La volonté de s’appuyer sur des données chiffrées montre également une volonté de rationaliser les discours politiques par des faits concrets.
Les Khalifistes de France accueilleront Barthelemy Dias à Paris le 26 novembre 2023 pour soutenir Khalifa Ababacar Sall, candidat à la présidence du Sénégal. La Rédaction L’événement vise à mobiliser la communauté sénégalaise de France pour un changement politique face aux défis de l’injustice et […]
Actualité Politique
Les Khalifistes de France accueilleront Barthelemy Dias à Paris le 26 novembre 2023 pour soutenir Khalifa Ababacar Sall, candidat à la présidence du Sénégal.
La Rédaction
L’événement vise à mobiliser la communauté sénégalaise de France pour un changement politique face aux défis de l’injustice et de la corruption. Ce sera une rencontre publique où tout le monde est invité à rejoindre « la lutte pour un Sénégal réconcilié et prospère. »
Voici le communiqué de presse
Dans le cadre du Mottali Yeene, les Khalifistes de France accueilleront Barthelemy Dias à Paris le 26 novembre 2023 à 15h30 dans une salle située au 28 avenue du Général Degaulle à Bagnolet.
Cet événement, coïncidant avec la période de collecte des parrainages pour le Président de la plateforme Taxawu Senegaal et candidat à la prochaine présidentielle Khalifa Ababacar Sall, permettra au Député-Maire de la ville de Dakar d’aller vers la rencontre des Sénégalais de France et de matérialiser l’essence du sermon de son leader :« Nous irons dans les quartiers, les communes, les départements, les régions les plus reculées pour échanger, comprendre, apprendre, découvrir et proposer… Aucune énergie, aucune compétence, aucun effort ne sera de trop dans cette noble ambition de réaliser le Sénégal bi niu Bokk.»
A l’heure où tout le peuple sénégalais est désorienté, assoiffé, affamé, à l’heure où le népotisme, l’injustice, la corruption sont érigés en règle dans un pays qui était la vitrine de la démocratie en Afrique, les Khalifistes de France feront bloc, avec les moyens humains et financiers à leur disposition, pour une large victoire de leur leader au soir du 25 février. Un leader qui à la tête de la magistrature suprême, sera le Président d’une nation réconciliée.
Tous les Sénégalais conscients de l’espoir que suscite Khalifa Ababacar Sall pour répondre aux nouvelles et légitimes espérances du peuple, du sacerdoce dont il a la profonde et entière conscience et de l’héritage légitime dont il est détenteur y sont conviés, pour continuer fidèlement le combat sous sa direction jusqu’à la victoire finale.
Taxawu Senegaal France
L’affaire du prêcheur Oumar Sall devient très sérieuse, avec des implications inquiétantes pour sa liberté. Il est poursuivi par le Collectif International des Talibés Cheikh pour plusieurs accusations. Last Leaks Le prêcheur a eu deux fois un retour de parquet, un week-end en garde-à-vue et […]
PolitiqueL’affaire du prêcheur Oumar Sall devient très sérieuse, avec des implications inquiétantes pour sa liberté. Il est poursuivi par le Collectif International des Talibés Cheikh pour plusieurs accusations.
Last Leaks
Le prêcheur a eu deux fois un retour de parquet, un week-end en garde-à-vue et dans la foulée une prière du vendredi à la mosquée ratée, des prêches… sans oublier les inquiétudes et angoisses des parents et amis.
C’est ce lundi 20 novembre qu’il sera édifié sur son sort.
Il est reproché à Oustaz Ahmed Oumar Sall d’avoir dénigré des pratiques essentielles de la Tidjaniya, que sont le hadaratoul jummah et le wazifa. Ce qui fait qu’il est donc poursuivi pour « diffamation et insulte commises par le biais d’un système informatique envers un groupe de personnes se distinguant par la religion ».
Il est vrai que le pêcheur et Oustaz a fauté. Disons-le, il s’est moqué de la foi de millions de personnes en s’attaquant de la manière dont il l’a fait, à la Tidjaniya. Il a offensé une grande et importante communauté religieuse.
De ce fait, il est aisé de saisir l’intention du Collectif International des Talibés Cheikh de faire de cette affaire un exemple pour dissuader d’autres de suivre le même chemin que le pêcheur Oumar Sall.
Seulement, il est également crucial de rappeler que cette situation implique uniquement des individus de foi musulmane. Tout se déroule dans le contexte de la pratique religieuse. Dès lors, à travers cette affaire regrettable, ne devrions-nous pas plutôt considérer l’opportunité pour les personnes impliquées d’exercer une recommandation : le pardon.
Le pardon représente l’une des qualités de notre bien-aimé Prophète Mohammed Rassouloulah (PSL) que nous, musulmans, nous nous efforçons d’imiter et de suivre. Ainsi, c’est une occasion pour les plaignants de pratiquer le pardon en tant que membres de la communauté musulmane.
Pardonner l’offense de Oustaz Oumar Sall pourrait démontrer un caractère déterminant de la Tidjaniya ainsi que toute sa grandeur.
Les paroles du prêcheur étaient indéniablement blessantes, mais espérons que les événements récents qu’il a traversés (convocations et tracas) le pousseront à réévaluer sa méthode de communication. Il pourrait dorénavant adopter un ton différent en s’adressant aux autres confréries, mais surtout, il est souhaitable qu’il accorde un réel respect à la foi des autres.
Dans une perspective plus large, pardonner à Oustaz Oumar Sall pourrait contribuer à la réconciliation et à la paix sociale.
Qui sait ? Cela pourrait représenter une occasion de compréhension et de réconciliation, ouvrant la voie à la résolution des tensions entre les adeptes de différentes confréries, surtout à un moment où certains exploitent négativement les réseaux sociaux dans le contexte actuel.
Cela semble être une démarche plus sage et bénéfique que de perpétuer un cycle de vengeance ou de rivalité entre les divers courants confrériques du pays. Naturellement, tout cela nécessite de surmonter les émotions négatives de chacun pour adopter une attitude plus bienveillante.
Le fait de pardonner à Oustaz Oumar Sall offrirait la possibilité de restaurer les relations endommagées entre la communauté des Ibadous à laquelle il appartient et les autres confréries.
Finalement l’adresse à la nation du leader Ousmane Sonko annoncée et tant attendue par les militants de l’ex Pastef n’a pas eu lieu. À la place, le chargé de communication du parti dissout a fait une publication sur sa page. C’est pour annoncer le parrainage […]
PolitiqueFinalement l’adresse à la nation du leader Ousmane Sonko annoncée et tant attendue par les militants de l’ex Pastef n’a pas eu lieu. À la place, le chargé de communication du parti dissout a fait une publication sur sa page. C’est pour annoncer le parrainage de Bassirou Diomaye Faye.
L’opposant et chef de l’ex parti Pastef s’apprêterait à adresser un message aux Sénégalais. Sauf qu’Ousmane Sonko, car de lui dont il s’agit, est emprisonné depuis des mois. Alors comment, sa cellule de Cap Manuel pourra t-il s’adresser à ses nombreux militants à travers le […]
PolitiqueL’opposant et chef de l’ex parti Pastef s’apprêterait à adresser un message aux Sénégalais. Sauf qu’Ousmane Sonko, car de lui dont il s’agit, est emprisonné depuis des mois. Alors comment, sa cellule de Cap Manuel pourra t-il s’adresser à ses nombreux militants à travers le monde? Un coup de bluff ou communication ou une énième défiance ?
R. Pédro
L’annonce de l’adresse à la nation du chef de l’ex Pastef s’est vite propagé partout dans le Sénégal et à l’international. Alors que Sonko est en prison, il n’empêche, les militants de l’ex Pastef y croient et sont tout ouïs.
Annoncée sur la page officielle Ousmane Sonko sur Facebook;
Important message à la nation du président Ousmane Sonko. Ce dimanche à 19 novembre 2023 à partir de 16heures ».
L’affiche à été aimée par plus de vingt cinq mille personnes, partagée plus de quatre mille cinq cents fois et commentée par
autant de gens. Et ceci rien qu’en cinq heures.
Évidemment, cela a fait réagir l’administration pénitentiaire qui a sorti un communiqué pour mettre en garde le détenu Ousmane Sonko mais également, toute personne qui serait tentée de l’aider à communiquer.